Une pièce faite de fragments de textes de Jean Baudrillard, J.P. Curnier, Jacques Rancière, Liliane Giraudon, Rodrigo Garcia, Olivier Cadiot, Georges Perros, Martin Crimp, Botho Strauss, et quelques autres…
Réalisation, Montage et Mise en scène : Danielle Bré
Scénographie : Angela Konrad
Assistants : Camille Patour, Vincent Franchi
Avec: Laurent de Richemond, Catherine Duflot, Jean Nehr, Brice Quetel, Agnès Régolo, Jérôme Rigaut, Danielle Stéfan. Amandine Thomazeau
Scénographie : Angela Konrad
Assistants : Camille Patour, Vincent Franchi
Avec: Laurent de Richemond, Catherine Duflot, Jean Nehr, Brice Quetel, Agnès Régolo, Jérôme Rigaut, Danielle Stéfan. Amandine Thomazeau
Le spectacle a été créé à l’automne 2007 et sa création a été décidée pour la participation de la compagnie au projet par les villages, opération de développement du théâtre et de la danse dans la communauté du pays d’Aix, opération initiée par les compagnies et les lieux aixois du groupe des 27.
Dans une maison de week-end, huit personnes parlent, se parlent, écoutent de la musique, font la cuisine, jouent aux cartes, lisent, chantent, bougent un peu, s’endorment, crient peut-être, rient sûrement : une RTT à plusieurs dont le dénouement est entre vos mains. Il y aura trois couples d’âges différents, séparés chacun par une génération et un homme et une femme isolés. Nous aimerions que chacun y reconnaisse avec étonnement, son cousin, ses voisins, son patron, sa belle- fille, son frère, sa meilleure amie, son ex, sa collègue de travail...
DATES A VENIR : MARDI 25 NOVEMBRE à 20H30 2008,
SALLE EMILIEN VENTRE à ROUSSET
VENDREDI 28 NOVEMBRE à 20h30
dans le cadre de PAR LES VILLAGES 2,
SALLE DU BOIS DE L’AUNE à AIX EN PROVENCE
SALLE EMILIEN VENTRE à ROUSSET
VENDREDI 28 NOVEMBRE à 20h30
dans le cadre de PAR LES VILLAGES 2,
SALLE DU BOIS DE L’AUNE à AIX EN PROVENCE
PHOTOS : Angela Konrad et Alain Heller
J’ai passé une génération à regarder en paix par la fenêtre
Je retiens des mouvements, les solitaires et ceux du collectif qui peut-être seront bientôt morts. Les mouvements ne vont jamais au musée.
Ce qu’il faut ici, ce n’est pas le talent de l’opinion, mais celui de l’exploration.
J’ai fini par le comprendre.
Je n’ai jamais pu finalement développer mes idées, plus loin que celles des autres, voir plus loin que les yeux des autres ?
Cela passe par les hauts et les bas, le vrai et la faux, comme chez tout le monde.
Comment pourrais-je dire : là il parle faux ? Il me dit qui il est ?
Nous ne sommes pas obligés de croire aux esprits. Ils sont, dans notre esprit.
Nous pouvons les entendre à discrétion ; il suffit de les écouter.
Maintenant quand je vais parmi les hommes, je regarde davantage et j’espère moins.
DanielleBré